Marcel Tankoano a écrit à Abdoul Karim Baguian dit Lota en ces termes :« Les gens attendent déjà». Cet écrit est suivi de plusieurs appels selon le procureur qui a cherché à savoir ce que «les gens attendent» concrètement. Cela est ambiguë explique le prévenu Marcel qui dit ne pas se rappeler de quoi il s’agissait exactement. Pour Lota, le parquet n’a absolument rien contre lui.
«Monsieur le président, les gens sont prêts à brûler ce pays juste pour chauffer leur café », a laissé entendre le procureur.
Il va jusqu’à comparer ce qui pouvait arriver, à ce qui est arrivé au Rwanda en 1994.
La suite du procès sur www.actuburkina.net
Didèdoua Franck ZINGUE