Les analyses pratiqués sur la dépouille présumée de l’ancien président burkinabè Thomas Sankara, tué en 1987 lors d’un coup d’État, n’ont pas permis de détecter un ADN, a indiqué lundi 21 décembre l’avocat de la famille de M. Sankara. « On peut simplement dire qu’au regard de ces résultats, l’état des restes ne permettaient pas au laboratoire de certifier l’existence d’ADN » sur les corps exhumés fin mai afin de lever le voile sur les circonstances de la mort de l’ex-président, a déclaré Me Bénéwendé Stanislas Sankara.
Source: jeuneAfrique. com