Mise en place en 2015, la Ligue pour la démocratie et les droits de l’homme (LDH) a été officiellement reconnue le 17 février 2017. C’est pour mieux présenter l’association que ses premiers responsables ont animé une conférence de presse ce 11 avril 2017, à Ouagadougou.
Contribuer au renforcement de la démocratie et à la promotion des droits de l’homme au Burkina Faso, promouvoir la bonne gouvernance et le respect des droits de l’Homme, initier des projets d’appui aux initiatives des jeunes et des femmes, œuvrer à la protection de l’environnement et du cadre de vie, soutenir les actions de la protection des droits de l’enfance, etc. Ce sont entre autres objectifs poursuivis par la Ligue pour la démocratie et les droits de l’homme (LDH), lesquels ont été présentés par les premiers de la structure ce 11 avril. Selon le président Salifou Kaboré, la LDH est une association apolitique, laïque et à but non lucratif ayant son siège à Ouagadougou. Elle a un bureau exécutif fort de 15 membres. Par ailleurs, la LDH prévoit de mettre en place des sections au niveau national et en plus des points focaux déjà présents au Mali et au Togo, elle entend en faire autant en Côte d’Ivoire.
Interpelé sur les questions de vie chère et des procès des crimes de sang et économiques, le président a invité les autorités à se pencher sur ces sujets. Aussi a-t-il confié que sa structure entend mener des activités essentiellement basées sur les formations, la sensibilisation, les plaidoiries et participer à toutes activités qui permettraient d’atteindre ses objectifs, par conséquent le bien-être de la population.
Joseph DOUGOURI
(Stagiaire)