
« Ce sont des choses qui sont inacceptables et qui ne peuvent pas rester dans l’impunité », a indiqué le président du Faso.
« C’est pourquoi, a-t-il poursuivi, j’ai instruit que la chaîne de commandement de ce service soit suspendue, en attendant que la police judiciaire fasse son travail et que nous voyions les mesures à prendre à l’issue du constat des médecins légistes », a ajouté le président Kaboré, pour qui la police doit être un pilier de défense de l’Etat de droit.
Direction de la communication de la présidence du Faso

