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LUTTE CONTRE LE CHANGEMENT CLIMATIQUE : le président du Faso souligne l’urgence de repenser « nos modes de vie, de production et de consommation »

A l’occasion de la 76e session de l’Assemblée générale des Nations unies, le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré a interpellé le 23 septembre 2021, la Communauté internationale sur l’impérieuse nécessité d’engager des actions fortes pour limiter les effets pervers du changement climatique.

Pour le chef de l’Etat, toutes les nations doivent travailler en synergie pour sauver la planète. « Etant donné qu’il n’y a pas de planète B, tous les pays, petits ou grands, développés ou en développement, doivent contribuer à sauver notre planète, à faire du monde un meilleur endroit où peuvent vivre à la fois les générations actuelles et futures », a soutenu le président du Faso.

Pour y arriver, il est urgent, selon Roch Marc Christian Kaboré « que nous repensions nos modes de vie, de production et de consommation ».

Selon le chef de l’Etat, l’organisation du Sommet sur les systèmes alimentaires en marge de cette 76e Assemblée générale des Nations unies, constitue une tribune qui « nous permettra d’évaluer nos systèmes et de réfléchir sur les moyens de mise en œuvre de l’Objectif de développement durable 1 ».

Le Burkina Faso qui subit déjà les effets néfastes des changements climatiques avec notamment la dégradation de 34% de ses terres exploitables s’est inscrit dans le développement des énergies renouvelables et des moyens de production durables, à même de contribuer à la protection et à la préservation de son écosystème. En outre le pays a ratifié l’Accord de Paris sur le climat et s’est déjà acquitté de sa contribution nationale déterminée.

Selon le président Roch Marc Christian Kaboré, le Burkina Faso qui s’est engagé sur le plan international pour la protection de la planète à travers la ratification des différents accords et conventions y relatifs, sera présent en novembre prochain à Glasgow en Ecosse pour la COP 26.

Cette conférence sur le climat qui se tiendra cinq ans après l’adoption de l’Accord de Paris « sera un moment important pour évaluer nos engagements communs et nos tentatives mondiales pour lutter contre la crise climatique », a déclaré le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré.

Direction de la communication de la présidence du Faso

 

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