Le ministre en charge de la Communication, Rémis Fulgance Dandjinou, a indiqué ce vendredi 03 août 2018, au cours du Conseil d’administration du secteur ministériel (CASEM) de son département,que le bilan à mi-parcours est important car il permet de voir les limites et les mesures correctives à apporter pour améliorer les performances.
«Le bilan à mi-parcours est important, parce que ça nous permet notamment dans le cadre du budget programme, de voir nos limites et de voir comment nous allons performer pour qu’effectivement le seuil de performance atteint l’année dernière soit largement déposé», a déclaré le ministre de la Communication, Rémis Fulgance Dandjinou.
«L’année dernière nous étions autour d’un taux de 60% qui est un seuil relativement moyen et nous pensons qu’avec ce CASEM, il y a des possibilités pour que nous puissions augmenter ce taux de réalisation et d’absorption pour la fin de l’année 2018», a-t-il indiqué.
SelonRémis Fulgance Dandjinou,le CASEM va permettre de passer en revue le rapport de performance et de gestion, les difficultés rencontrées par les structures centrales et déconcentrées en vue de dégager les forces et les faiblesses et trouver, ensemble, les mesures correctives à même d’améliorer les performances du département.
Il a aussi précisé que le bilan à mi-parcours s’articule autour de l’analyse du bilan d’étape de l’exécution du programme d’activités des six derniers mois, de l’examen du rapport d’exécution du budget et des communications sur le thème général du CASEM.
Par rapport aux résultats non satisfaisants de son ministère, M. Dandjinoua souligné qu’avec le réaménagement budgétaire et ensuite la mise en œuvre des procédures au niveau des passations des marchés, parfois il y a eu des lenteurs.
Ce premier conseil d’administration du secteur ministériel 2018 place au centre des échanges, les difficultés dans la mise en œuvre de la mission du département avec pour thème: «Evaluation de la mise en œuvre des actions du ministère de la Communication, chargé des relations avec le parlement : défis et perspective».
Agence d’information du Burkina