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Sécurité au Burkina Faso : le ministère de la sécurité et ses partenaires se concertent

Les ONG et association de développement et Fondation intervenant dans le domaine de la sécurité ont tenu une revue sectorielle ce 24 Juillet 2025, à Ouagadougou. Une occasion pour le ministère de la sécurité et ses partenaires de renforcer la synergie d’action pour une quiétude des populations.

Pour la mise en œuvre du décret 2024/581 portant création d’un cadre de concertation entre l’Etat et les organisations non-gouvernementales, un cadre de concertation s’est tenu ce 24 juillet 2025 à la Mairie de Ouagadougou. Ce cadre se tient non seulement au niveau national, régional mais aussi au niveau sectoriel. Ainsi, « La revue sectorielle a pour objectif de faire le bilan annuel, présenter le rapport consolidé de la mise en œuvre des différents programmes d’investissement des ONG, Association de développement et fondation, d’échanger sur les difficultés rencontrées, de dégager les perspectives pour mieux orienter les actions à venir pour une meilleure collaboration » a expliqué le secrétaire général de la sécurité, le commandant Hamed Ouédraogo.

A en croire le commandant, les interventions multiformes des organisations non-gouvernementales (ONG), association de développement et fondation dans le domaine de la sécurité sont à saluer à leur juste valeur. Il a indiqué qu’au 31 décembre 2024, plus de 10 associations interviennent dans le secteur de la sécurité. Cependant, au regard des différents rapports transmis au niveau de la direction générale des études statistiques, c’est seulement 6 associations, ONG qui ont répondu en transmettant leurs rapports.

 

Toujours selon le secrétaire général de la sécurité, ce sont ces différents rapports qui ont permis d’élaborer le projet de rapport consolidé de mise en œuvre des activités aux programmes d’investissement des ONG pour l’année 2024. En outre malgré le nombre insuffisant de ces rapports, le ministère a pu faire ressortir un taux d’exécution physique de 78%, un taux d’exécution financière de 113% et un taux d’absorption de 100%.  « Cependant, il faut reconnaitre que ces résultats pourraient être davantage plus significatifs si un nombre important de ces ONG avaient transmis leurs rapports d’activités. » a affirmé Hamed Ouédraogo.

Véronique ONADJA (stagiaire)

 

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