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Initiative paix au Sahel : la 3e édition du Prix du journalisme sur la paix et la cohésion sociale lancée

La Commission épiscopale justice et paix (CJP-Burkina) qui assure le lead de la mise en œuvre de l’Initiative paix au Sahel déploie depuis 2021 de nombreuses activités dont le prix du journalisme sur la paix et la cohésion sociale. En effet la 3e édition de ce prix a été lancée officiellement ce 2 juillet 2024 à Ouagadougou sous le thème : « Contribution des hommes et femmes de médias à la promotion de la paix, de la cohésion sociale et à l’augmentation de la résilience communautaire des populations affectées par la crise au Burkina Faso »

La Commission épiscopale justice et paix (CJP-Burkina) a lancé officiellement la 3e édition de prix du prix du journalisme sur la paix et la cohésion sociale, ce 2 juillet 2024 au cours d’une conférence de presse à Ouagadougou. Les œuvres des journalistes dans les catégories concernées que sont la radio, la télévision, la presse écrite et en ligne et publiées entre le 1er octobre 2023 et le 15 août 2024 sont recevables jusqu’au 18 août prochain en dépôt physique au siège de la (CJP-Burkina) à Ouagadougou ou à l’adresse e-Mail : [email protected]

 avec en copie [email protected]

Les genres concernés par ce concours sont le reportage, le dossier et le portrait.

 

Le secrétaire général de la CJP-Burkina, l’Abbé Herman Ouédraogo

Selon le secrétaire général de la CJP-Burkina, l’Abbé Herman Ouédraogo, le prix du journalisme sur la paix et la cohésion sociale vise non seulement à reconnaitre l’excellence individuelle mais aussi à encourager plus généralement l’innovation et l’audace du journalisme dans l’art de la communication.

Il a invité les journalistes à soumettre leurs productions les plus marquant non seulement pour compétir mais aussi pour donner aux Burkinabè qui les verront, des raisons d’espérer et d’avancer. « Nous recherchons des histoires qui inspirent, des faits et gestes qui remettent debout, qui éclairent et qui incitent à aller de l’avant dans le renforcement de la résilience », la consolidation de la paix et la construction d’une société plus harmonieuse », a conclu l’Abbé Herman Ouédraogo.

Kiswendsida Fidèle KONSIAMBO

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